
J’ai encore été obligée de me faire choper par l’autre vieux pervers si je ne voulais pas me retrouver à la rue, deux loyers de retard, plus de boulot, pas de petits copains pour me dépanner et des parents inexistants, voilà où ça me mène. Dans ma boite qui a fermé il y a six mois maintenant on avait promis de nous reclasser, c’est du pipeau tout ça, on est tous sur le carreau. Le propriétaire de l’appartement que je loue est donc passé me rendre une visite de rappel avec ses yeux de pervers toujours plantés dans mon chemisier, il faut dire que j’ai une poitrine plus que généreuse et que lui est un malade de la baise, il a exigé son fric immédiatement sinon c’était l’huissier, il avait bien sûr une autre idée derrière la tête, j’ai vingt-deux ans, lui cinquante-neuf et il adore la viande fraîche comme il se plaît à le répéter, il y a longtemps qu’il me drague mais quand j’avais les moyens de le régler, il n’a jamais pu me sauter, alors aujourd’hui c’est tout bénéfice pour lui, mes nichons et mon cul sur lesquels il fantasme depuis plus de deux ans vont enfin être à lui, il le sait et il savoure le moment. Il prend son temps et me propose un plan de sauvegarde, d’abord il sait que mon frigo est vide et il propose de m’emmener faire les courses et de remplir un caddy, à notre retour il propose une longue baise avec un dîner, chez moi, et ensuite une nuit de folies ensemble, je n’ai pas le choix j’accepte. Après les courses et le rangement de ces dernière effectuée, il saute sauvagement sur mes tétons et le mange comme un vicelard, il bave de partout, ses yeux sont exorbités, il déballe sa bite qui est déjà énorme et raide, le vieux salaud a un bon engin, un pénis gros comme une matraque, finalement je ne perdrai peut-être pas trop au change, surtout que je suis un peu ronde et que les mecs ne pleuvent pas pour moi, je n’ai pas baisé depuis près de six mois et encore c’était avec une jeune de mon âge bourré qui n’a pas voulu me revoir le lendemain. Bref je suce le propriétaire et il me baise ensuite, je le sens bien, je me retiens de ne pas hurler, pourtant je jouis très fort mais je ne veux en aucun cas qu’il s’en aperçoive, mon ventre va exploser de plaisir, sa queue est si bonne, dommage qu’il soit con et pervers, j’écarte de plus en plus les cuisses, il place son pénis entre mes seins et se branle puis il me prend en sodomie, j’ai mal mais c’est supportable. On a ensuite dîner et il m’a baisée pratiquement toute la nuit, j’a eu les meilleurs orgasmes de toute ma vie de jeune femme, malgré que j’aie lutté pour ne pas jouir. Au petit matin, il est parti en me disant que si j’étais toujours gentille de la sorte, je n’aurais plus de loyer à payer, il s’en fiche, la moitié de l’immeuble lui appartient !